Caractéristiques du jus testé
- Sponsor ayant prêté le matériel pour la revue : Airmust
- Prix du conditionnement testé : 19.90 €
- Quantité : 60 ml
- Prix au ml : 0.33 €
- Prix au litre : 330 €
- Catégorie de jus en fonction du prix au ml précédemment calculé : Entrée de gamme, jusqu’à 0.60 €/ml
- Dosage en nicotine : 0 mg/ml
- Proportion de glycérine végétale : 50 %
Conditionnement
- Présence d’une boîte : Non
- Présence d’un sceau d’inviolabilité : Oui
- Matière du flacon : Plastique souple, utilisable pour le remplissage, si le flacon est équipé d’un embout
- Equipement du bouchon : Rien
- Caractéristique de l’embout : Fin
- Nom du jus présent en gros sur l’étiquette : Oui
- Affichage des proportions PG/VG en gros sur l’étiquette : Oui
- Affichage du dosage de nicotine en gros sur l’étiquette : Non
Note du Vapelier pour le conditionnement : 3.77 / 5 
Commentaires quant au conditionnement
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un liquide qui sort un peu des sentiers battus. Il s’appelle l’Essai et il fait partie de la gamme l’Ovalie signée Airmust. Une gamme entièrement dédiée à l’univers du rugby. Oui, du rugby. C’est plutôt inattendu dans le monde de la vape, non ? Pour ma part, c’est la première fois que je croise une collection inspirée de ce sport mythique.
Avant de débuter, parlons un peu d’Airmust. La marque a vu le jour en 2013, en région parisienne. Dès ses débuts, elle s’est faite remarquer par des recettes classiques solides, capables de tenir tête aux mastodontes américains. Mais c’est surtout grâce à des créations plus audacieuses, comme The Fabulous ou Voodoo, qu’elle a su marquer les esprits.
Cette équipe a une philosophie : du 100 % français, une production entièrement maîtrisée et une volonté toujours aussi forte d’innover et de surprendre.
Ce que j’apprécie chez Airmust, c’est ce soin apporté aux détails. Les recettes de la marque prennent vie entre Paris et le Loiret, là où des aromaticiens passionnés peaufinent chaque composition avec rigueur. Chaque liquide passe par une série de dégustations. Ils sont affinés et réajustés, pour trouver l’équilibre parfait.
La marque déploie un éventail de gammes pour répondre à toutes les envies. Ce sont des créations généreuses et gourmandes comme Ekinox, des escapades exotiques avec Paperland, des recettes audacieuses et surprenantes du côté de Hey Boogie et des jus d’une belle justesse avec Absolute.
Mais revenons à l’Essai. Ici, on est sur une base fruits rouges, un incontournable. C’est un type de saveur qui fonctionne toujours bien, que l’on débute dans la vape ou qu’on ait déjà quelques années d’expérience au compteur. Le liquide est proposé dans un flacon de 75 ml, rempli à hauteur de 60 ml, au format prêt à booster. Il possède un ratio de 50/50 de PG/VG. Un choix judicieux, qui en fait un liquide polyvalent, capable d’offrir un bon équilibre entre rendu aromatique et production de vapeur. Pour le dosage en nicotine, c’est très simple :
- 1 booster = 3 mg,
- 2 boosters = 6 mg.
Il suffira de bien secouer le flacon et de laisser reposer un peu le liquide après l’ajout, le temps que les arômes se mélangent et révèlent pleinement leur complexité. C’est une étape à ne pas négliger si vous voulez profiter du liquide dans les meilleures conditions.
Côté tarif, 19,90 € pour 60 ml. Voilà, le décor est posé. Il ne reste plus qu’à passer à la dégustation, et voir ce que l’Essai a réellement dans le ventre.
Conformités légales, sécuritaires, sanitaires, et religieuses
- Présence d’une sécurité enfant sur le bouchon : Oui
- Présence de pictogrammes clairs sur l’étiquette : Oui
- Présence de marquage en relief pour malvoyant sur l’étiquette : Non obligatoire
- 100% des composés du jus sont indiqués sur l’étiquette : Non
- Présence d’alcool : Non
- Présence d’eau distillée : Non
- Présence d’huiles essentielles : Non
- Conformité CACHER : Ne sait pas
- Conformité HALAL : Ne sait pas
- Indication du nom du laboratoire produisant le jus : Oui
- Présence des contacts nécessaires pour joindre un service consommateur sur l’étiquette : Non
- Présence sur l’étiquette d’un numéro de lot : Non
Note du Vapelier quant au respect des diverses conformités (hors religieuses) : 5 / 5 
Commentaires sur les aspects sécuritaires, légaux, sanitaires et religieux
Le premier détail qui saute aux yeux, c’est le bouchon sécurisé. Avec ce petit clic de résistance, quand on l’ouvre, qui nous rassure. Il garantit que le flacon n’a pas été ouvert avant vous.
En y regardant de plus près, on aperçoit aussi les pictogrammes réglementaires. Ils rappellent que ce liquide est strictement interdit aux mineurs et aux femmes enceintes. Des symboles familiers, certes, mais toujours importants à signaler.
L’étiquette, elle, est plutôt complète. On y retrouve la DDM (la fameuse date de durabilité minimale), un code-barres bien lisible, et tout ce qu’il faut pour tracer le produit sans la moindre ambiguïté. Et ce n’est pas tout. Tout en bas, les coordonnées complètes du fabricant sont indiquées noir sur blanc : nom, e-mail, numéro de téléphone, adresse… On sent une vraie volonté de respecter les normes en place.
Appréciation du packaging
- La conception graphique de l’étiquette et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Correspondance globale du packaging avec le nom du produit : Oui
- L’effort de packaging consenti est en accord avec la catégorie de prix : Oui
Note du Vapelier quant au packaging au regard de la catégorie de jus : 5 / 5
Commentaires sur le packaging
Dès le premier regard, l’étiquette du liquide “L’Ovalie – L’Essai” attire l’œil. On comprend tout de suite qu’on est plongé dans l’univers du rugby. Les couleurs sont franches et les formes dynamiques… tout est pensé pour évoquer ce sport avec force et fierté.
Le bleu foncé du fond pose le décor. Un bleu profond, presque solennel, celui des grandes occasions. C’est une couleur qu’on associe naturellement à la France, à son équipe nationale aussi, mais elle porte autre chose : une idée de solidité, de sérieux, de tradition. Ce fond met en valeur tout le reste.
Au centre, on retrouve un ballon de rugby blanc, mais parcouru de touches rouges, tantôt vives, tantôt plus sombres. Ces nuances créent une impression de mouvement, comme si le ballon venait tout juste d’être propulsé dans l’en-but. Les stries rouges qui traversent le cercle accentuent cette sensation : il y a de la vitesse, de l’énergie, presque un souffle.
Autour du ballon, un cercle orné de lignes rouges horizontales. Le rouge vif domine en haut, puis s’assombrit vers le bas. Ce dégradé semble raconter quelque chose. La montée en intensité, la tension d’un match, un essai marqué en pleine course. Ce sont des détails graphiques, mais ils donnent une vraie émotion visuelle. On sent le rythme, l’action et l’envie de marquer.
Le bleu représente la tradition et la confiance. Le rouge, dans toutes ses nuances, pour l’intensité, la passion et l’adrénaline. Le blanc, pour la clarté et l’équilibre. Ensemble, ils forment une palette tricolore qui raconte une histoire. Celle d’un sport collectif, intense et vivant. Un sport qui rend hommage à sa nation de naissance par ses teintes mais aussi au XV de France, ne l’oublions pas !
Le visuel dans sa composition même évoque le mouvement. L’arrondi des éléments et l’inscription qui épouse la forme du cercle, le ballon stylisé, tout rappelle la trajectoire d’un vrai ballon lancé à pleine vitesse. Celle qu’on suit du regard jusqu’à l’essai.
Un clin d’œil historique par rapport au ballon de rugby. Il n’a pas toujours été ovale. Il était rond, au début. C’est en 1823 que William Webb Ellis a décidé de le prendre à la main et de courir avec. Ce geste a tout changé. L’ovale est né. Depuis, cette forme fait partie intégrante de ce jeu de passes rapides, de courses engagées, de stratégies collectives.
Et justement, qu’est-ce qu’un essai au rugby ? C’est ce moment où l’on marque un point en aplatissant le ballon dans l’en-but adverse. Un geste qui récompense le travail d’équipe. À l’origine, un essai ne donnait même pas de points directs. Il permettait seulement… d’essayer une transformation, d’où le nom. Aujourd’hui, il vaut 5 points, et reste le symbole du rugby offensif, de l’engagement total.
En résumé, l’étiquette de “L’Ovalie – L’Essai” n’est pas juste jolie. Elle porte un message, une histoire. Elle rend hommage à un sport qui mêle force, stratégie, cœur et esprit d’équipe. Et tout cela, sans jamais oublier d’affirmer haut et fort ses racines.
Appréciations sensorielles
- La couleur et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- L’odeur et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Définition de l’odeur : Fruitée, Sucrée
- Définition du goût : Sucré, Fruit, Léger
- Le goût et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Ai-je aimé ce jus ? Oui
Note du Vapelier quant à l’expérience sensorielle : 5 / 5
Commentaires quant à l’appréciation gustative du jus
La gamme L’Ovalie nous entraîne aujourd’hui dans un nouveau face-à-face aromatique, et cette fois-ci, elle choisit un terrain familier mais redoutablement exigeant : les fruits rouges. Incontournables dans presque toutes les gammes, ils forment un véritable classique… mais comme tout classique, leur interprétation peut faire toute la différence. Ici, pas de recette bâclée ou de cliché sucré à outrance. Voyons donc comment il défend ses couleurs sur le terrain.
Dès l’ouverture de la fiole, un parfum franc, intense, éclate sans détour. Ce sont bien des fruits rouges qui s’invitent, mais sans qu’on puisse, d’emblée, les définir. Cela attise la curiosité. On devine la richesse et la complexité… cela donne vraiment envie de percer cette énigme fruitée.
Chaque fruit rouge possède son propre langage, avec une façon de s’exprimer dans la vape. La fraise est douce, sucrée et moelleuse. La framboise, pulpeuse et acidulée, réveille les papilles d’un éclat. La mûre, charnue et boisée, éclate en bouche avec ses grains. La groseille, elle, arrive comme un éclat de rire, croquante, juteuse, parfois piquante. Et le cassis ? Il se fait remarquer par sa puissance, sa chair dense, presque tannique, avec des notes végétales qui apportent du relief.
Dans ce liquide, l’équilibre est maîtrisé avec une justesse qui surprend. On sent une fraise qui évoque sans détour la Gariguette, cette variété fine et parfumée, sucrée juste ce qu’il faut, avec une acidité délicate qui rappelle les confitures maison de notre enfance. La framboise semble quant à elle de type Meeker, avec son grain fin et son côté floral légèrement confiseur. La mûre évoque la «sauvageonne», avec sa chair profonde, un brin rustique, et ce soupçon de sous-bois qui lui donne du coffre. La groseille, bien rouge, croque sous la dent, éclatante de fraîcheur. Et le cassis, probablement un Noir de Bourgogne, vient refermer la marche avec son intensité fruitée et brute.
À l’inhalation, l’expérience prend son envol. On a une vraie salve aromatique, dominée par la fraise et la framboise, dynamisée par la groseille et adoucie par la mûre. C’est une sensation vive, fraîche, juteuse, on croirait mordre à pleines dents dans une salade de fruits rouges cueillis à l’aube, encore perlés de rosée. La texture est aérienne, comme portée par le vent.
Et puis, alors qu’on pense avoir saisi toute la richesse du liquide, voilà qu’une note inattendue fait doucement son entrée… la réglisse. Elle vient glisser sa fraîcheur, légère mais audacieuse, comme un demi-de-mêlée qui surgit là où on ne l’attendait pas. Une pointe de réglisse noire, subtile, presque timide au départ, mais qui finit par s’imposer avec élégance. Elle ne prend jamais le dessus, mais accompagne. Elle enlace la fraise, vient trancher la framboise, accentue le relief du cassis, donne de la rondeur à la mûre… et offre à la groseille un contrepoids tout en caractère. Cette touche finale, c’est la surprise du chef, la signature qui change tout. Grâce à elle, ce liquide ne se contente plus d’être un simple fruité rouge.
En bouche, le liquide révèle toutes ses strates. La fraise installe la douceur. La framboise réveille l’ensemble. La groseille éclabousse d’éclats acidulés. Et cette touche de réglisse ? Elle vient lier le tout avec finesse, comme un fil invisible qui relie les joueurs sur le terrain. Le goût persiste longuement, évolue au fil de l’expiration. On sent les fruits rouges qui s’alanguissent, gagnent en maturité, deviennent presque confits. La mûre et le cassis reprennent le dessus en rétro-olfaction, alors que la fraîcheur de la groseille reste en embuscade.
En résumé : L’Ovalie, l’Essai réussit là où beaucoup échouent. Il transforme un thème archi-connu en un terrain de jeu gustatif riche, vivant, plein de relief. La fraîcheur, l’acidité, la rondeur et la profondeur s’enchaînent comme les temps forts d’un match bien mené. Et cette note de réglisse, surgie en fin d’expiration et fait toute la différence : elle ne domine pas, elle révèle. Elle est le coup de pied transformé après l’essai, celui qui scelle la victoire et qu’on n’oublie pas.
Recommandations de dégustation
- Puissance recommandée pour un goût optimal : 24 W
- Type de vapeur obtenue à cette puissance : Dense
- Type de hit obtenu à cette puissance : Léger
- Atomiseur ayant servi pour la revue : Aspire Atlantis GT
- Valeur de la résistance de l’atomiseur en question : 0.3 Ω
- Matériels utilisés avec l’atomiseur : Coton, Mesh
Commentaires et recommandations pour une dégustation optimale
Quand on connaît un peu la gamme L’Ovalie, on sait à quoi s’attendre. C’est une vape qui ne fait pas dans la dentelle : des arômes francs, nets, sans fioriture, et toujours cette sensation étonnante que les fruits se suffisent à eux-mêmes. Aucun excès de sucre, aucune lourdeur, mais cette douceur particulière qui donne l’illusion que le sucre vient du fruit lui-même, comme si on croquait dans un fruit bien mûre, gorgée de soleil.
Pour cette dégustation, j’ai naturellement sorti mon Aspire Atlantis GT, réglé à 24 watts. Un choix réfléchi, presque instinctif, tant ce clearomiseur sait mettre en lumière les saveurs sans les écraser. Mais très vite, une question m’a trotté dans la tête : et si je testais ce liquide sur d’autres configurations ? Après tout, chaque matériel raconte l’histoire d’un e-liquide à sa façon, comme une voix différente qui interprète la même partition. Et vous savez quoi ? Le résultat a été sans appel. Le liquide ne s’exprime pas de la même manière partout…
Ces tests m’ont permis de capter des détails qui m’avaient échappé au premier abord. Chaque configuration offrait un éclairage nouveau sur cette création fruitée, comme si je changeais d’angle de vue pour observer un tableau sous une autre lumière.
Son ratio en 50/50 PG/VG s’est révélé être un véritable passe-partout, fluide et sans excès. Pas d’encrassement prématuré des résistances, pas de vapeur étouffante, juste une belle douceur en bouche et une restitution aromatique propre, lisible, précise. Le hit ? Présent juste ce qu’il faut mais jamais envahissant.
Le matériel, les réglages, peuvent tout changer. Un liquide que l’on trouvait un peu fade ou simplement « correct » peut soudain se révéler sous un nouveau jour, simplement parce qu’on a trouvé le bon setup, celui qui le met en valeur. C’est presque magique.
Alors si vous avez un liquide que vous avez mis de côté, ou que vous avez jugé un peu vite… tentez l’expérience. Changez de clearo, ajustez les watts, essayez une autre résistance. Vous pourriez bien tomber sur une surprise, un petit moment de grâce, une redécouverte. À vous de jouer désormais. Le terrain est vaste, et chaque bouffée peut devenir une aventure.
Moments recommandés
- Moments de la journée recommandés : Matinée, Matin – petit déjeuner café, Matin – petit déjeuner chocolat, Matin – petit déjeuner thé, Apéro, Déjeuner / dîner, Fin de déjeuner / dîner avec un café, Fin de déjeuner / dîner avec un digestif, Tout l’après midi durant les activités de tout un chacun, Début de soirée pour se détendre avec un verre, Fin de soirée avec ou sans tisane, La nuit pour les insomniaques
- Ce jus peut-il être recommandé comme un all-day vape : Oui
Moyenne globale (hors packaging) du Vapelier pour ce jus : 4.59 / 5 
Mon billet d’humeur sur ce jus
Dans une gamme aussi bien construite que L’Ovalie, il aurait été impensable de ne pas trouver un liquide aux fruits rouges. C’est un passage obligé, un classique incontournable. Chaque collection de fruités digne de ce nom se doit d’en proposer un… mais encore faut-il réussir à se démarquer. Et je vous avoue que, lorsqu’on m’a présenté la gamme, ce n’est pas ce liquide-là qui m’a immédiatement attiré. Je l’ai mis de côté, presque relégué à la fin, pensant avoir déjà tout goûté, tout senti de ce genre d’arômes.
Et pourtant… quelle erreur.
Ce liquide m’a totalement pris à contre-pied. J’y ai découvert un véritable kaléidoscope de fruits rouges avec une palette complexe. À chaque changement de matériel, c’était comme si je redécouvrais un nouveau jus, une nouvelle facette. Tantôt la fraise s’imposait avec tendresse, tantôt c’était la framboise qui éclatait d’acidité. Et parfois, une note boisée, presque sauvage, s’invitait en fin de bouffée. Chaque configuration offrait sa propre interprétation. Déconcertant ? Oui. Mais aussi incroyablement stimulant.
L’Essai, comme il s’appelle, m’a offert l’une des dégustations les plus surprenantes de la gamme. Il m’a fait prendre le temps, m’a obligé à l’écouter vraiment. Et le plus beau, c’est qu’il a su se faire aimer lentement, sans en faire trop, sans tapage. Juste par l’élégance de sa composition.
Ce qui marque dans la gamme L’Ovalie, c’est cette maîtrise. Les arômes sont dosés avec justesse. On sent que tout a été réfléchi pour que chaque liquide soit accessible, des fruités à la fois simples et subtils, généreux sans être envahissants, qu’on a envie de revisiter encore et encore.
Dès la première bouffée, le ton est donné. Une douceur naturelle, une fraîcheur qui n’agresse pas, des saveurs qui caressent les papilles plutôt qu’elles ne les heurtent. Et avec les beaux jours qui s’installent, ce jus trouvera sans aucun doute de nombreux adeptes. Il est lumineux, délicat, parfaitement dans la saison.
Quant à son nom… L’Essai, difficile de faire plus juste. Il marque. Vraiment. Il laisse cette trace, cette petite empreinte qui ne s’efface pas. Un Top Vapelier bien mérité, une réussite totale en matière de fruits rouges. Oui, ici, on peut le dire sans détour : ça matche, et ça file droit entre les poteaux.
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