Caractéristiques du jus testé
- Sponsor ayant prêté le matériel pour la revue : Liquideo
- Prix du conditionnement testé : 19.90 €
- Quantité : 50 ml
- Prix au ml : 0.4 €
- Prix au litre : 400 €
- Catégorie de jus en fonction du prix au ml précédemment calculé : Entrée de gamme, jusqu’à 0.60 €/ml
- Dosage en nicotine : 0 mg/ml
- Proportion de glycérine végétale : 50 %
Conditionnement
- Présence d’une boîte : Non
- Présence d’un sceau d’inviolabilité : Oui
- Matière du flacon : Plastique souple, utilisable pour le remplissage, si le flacon est équipé d’un embout
- Equipement du bouchon : Rien
- Caractéristique de l’embout : Fin
- Nom du jus présent en gros sur l’étiquette : Oui
- Affichage des proportions PG/VG en gros sur l’étiquette : Oui
- Affichage du dosage de nicotine en gros sur l’étiquette : Oui
Note du Vapelier pour le conditionnement : 3.77 / 5 
Commentaires quant au conditionnement
Aujourd’hui, je vais vous embarquer dans la découverte d’une marque que je connais finalement assez peu. On commence donc avec la marque Liquideo, et plus précisément avec l’une de ses gammes les plus colorées : Dragonzz. Et pour ouvrir le bal, un trio qui annonce clairement la couleur : dragon, pastèque, kiwi. Du fruit, encore du fruit, et visiblement aucune envie de faire dans la discrétion.
Avant de plonger le nez dans le flacon, petit détour par la maison Liquideo, histoire de poser le décor. La marque est française, née en 2013, à une époque où la vape cherchait encore ses marques. À l’origine, il y a une simple intuition, presque un déclic après l’achat d’une cigarette électronique. De là, Liquideo a décidé de tout maîtriser de A à Z : les recettes, les tests, la production, le conditionnement. On sent une vraie volonté de faire les choses proprement, sans raccourci, avec une attention particulière portée aux matières premières et aux règles en vigueur.
Liquideo aime se présenter comme un créateur de saveurs, et ce n’est pas qu’un slogan. Leur catalogue est immense, allant des classiques les plus sages aux mélanges fruités ou gourmands bien plus audacieux. Des gammes comme Evolution, Freeze, XBud, Dandy ou encore Dragonzz ont chacune leur identité, leur ambiance, leur univers graphique. Et derrière tout ça, une idée simple : proposer des liquides accessibles, quel que soit votre profil de vapoteur, avec différents formats et ratios pour que chacun puisse s’y retrouver.
La gamme Dragonzz, justement, résume assez bien cet esprit. Ici, on joue à fond la carte de l’imaginaire. Des dragons, des créatures fantastiques, des visuels qui évoquent des mondes exotiques, et au cœur de tout ça, le fruit du dragon, le fameux pitaya, qui sert de fil conducteur. Dans cette version Pastèque Kiwi, on retrouve ce fruit un peu mystérieux, accompagné d’une pastèque bien juteuse et d’un kiwi plus vif, presque piquant.
Revenons maintenant à ce que vous avez vraiment entre les mains. Le Dragonzz Dragon Pastèque Kiwi est proposé dans un flacon de 50 ml, prêt à booster, en 50/50 PG/VG. Pour la nicotine, rien de compliqué : un booster vous amène à 3 mg, deux boosters à 6 mg, chacun ajuste selon ses habitudes. Côté prix, on est à 19,90 € pour les 50 ml.
Et comme toujours, petit rappel qui peut sembler banal mais qui fait toute la différence : laissez-le reposer un peu. Donnez-lui le temps de se poser, de se mélanger, de trouver son équilibre. Les arômes vous le rendront bien.
Conformités légales, sécuritaires, sanitaires, et religieuses
- Présence d’une sécurité enfant sur le bouchon : Oui
- Présence de pictogrammes clairs sur l’étiquette : Oui
- Présence de marquage en relief pour malvoyant sur l’étiquette : Non obligatoire
- 100% des composés du jus sont indiqués sur l’étiquette : Oui
- Présence d’alcool : Non
- Présence d’eau distillée : Non
- Présence d’huiles essentielles : Non
- Conformité CACHER : Ne sait pas
- Conformité HALAL : Ne sait pas
- Indication du nom du laboratoire produisant le jus : Oui
- Présence des contacts nécessaires pour joindre un service consommateur sur l’étiquette : Oui
- Présence sur l’étiquette d’un numéro de lot : Oui
Note du Vapelier quant au respect des diverses conformités (hors religieuses) : 5 / 5 
Commentaires sur les aspects sécuritaires, légaux, sanitaires et religieux
Quand vous prenez la fiole en main, le premier détail qui saute aux yeux, c’est ce bouchon sécurisé. Il faut appuyer, tourner, un petit geste devenu presque automatique pour nous autres vapoteurs. La sécurité enfant est bien là, et surtout, ça rassure tout de suite : personne n’est passé avant vous.
Ensuite on retrouve le ratio de 50PG/50VG bien indiqué. Les coordonnées du fabricant sont là : le nom, l’adresse, l’e-mail, le numéro de téléphone. La DDM est bien visible, tout comme le numéro de lot. Et pour finir, le liquide est en 0 mg de nicotine.
Appréciation du packaging
- La conception graphique de l’étiquette et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Correspondance globale du packaging avec le nom du produit : Oui
- L’effort de packaging consenti est en accord avec la catégorie de prix : Oui
Note du Vapelier quant au packaging au regard de la catégorie de jus : 5 / 5 
Commentaires sur le packaging
Dès que vos yeux se posent sur l’étiquette du Dragon Pastèque Kiwi, impossible de rester indifférent. Elle vous saute presque au visage. Au centre, trône une tête de dragon, massive, bien présente, avec ce mélange de vert et d’orange qui accroche tout de suite le regard. Autour, ça flamboie littéralement : des touches de vert, d’orange, de rouge… on a l’impression que l’étiquette est en mouvement, comme si elle vibrait déjà avant même d’ouvrir la fiole. En haut, le logo Liquideo, bien blanc, ressort franchement sur ce fond sombre.
Le dragon, lui, est représenté de profil, la gueule grande ouverte. On distingue ses crocs, sa langue verte, et ces écailles mêlant des tons verts et orangés. Le vert évoque immédiatement le fruit, quelque chose de vif, presque acide, un clin d’œil évident au kiwi. L’orange, lui, ramène au feu, à l’énergie brute, à cette puissance qu’on associe naturellement à la créature. Il y a une sorte de tension visuelle entre ces deux couleurs, comme si le fruité et le côté brûlant se répondaient déjà, avant même la première bouffée.
Autour de la tête, on remarque une forme lumineuse, presque un halo. Ça fait penser à une aura, ou à un soleil brûlant, voire à un portail d’énergie prêt à s’ouvrir. Juste là, un triangle inversé, tracé avec des lignes vertes et orange, encadre le dragon. On sent que ce n’est pas un liquide sage, qu’il y a quelque chose d’explosif qui se prépare.
Le fond de l’étiquette est sombre, en noir, et c’est justement ce qui permet à toutes ces couleurs de ressortir avec autant de force. Des flammes stylisées orange et jaune s’entremêlent avec des éclairs verts, comme si le feu du dragon se mêlait à une énergie plus électrique, plus fruitée. L’ensemble fait très univers fantasy, avec une petite touche gaming qui parle immédiatement aux amateurs de visuels percutants.
En bas, DRAGONZZ s’impose en lettres capitales blanches, façon graffiti agressif. Les angles sont cassés, le mot semble griffé, comme si le dragon avait laissé sa trace. Ça renforce clairement l’idée de puissance, de caractère, avec ce petit côté rebelle qui colle bien à l’univers de la gamme. Et juste en dessous, plus discret, “Dragon Pastèque Kiwi” apparaît dans une écriture manuscrite, dynamique, presque comme un tag ajouté à la va-vite. Mais tout est là. Le dragon pour l’exotisme, la pastèque pour le côté juteux et rafraîchissant, le kiwi pour cette pointe d’acidité qui réveille. Visuellement, tout est déjà raconté, avant même d’avoir ouvert la fiole.

Le nom fait travailler l’imagination : on pense à un jardin tropical protégé par un dragon, quelque chose de luxuriant, coloré, presque vivant. Même l’écriture “Dragonzz”, avec ses deux consonnes finales, apporte un côté un peu urbain, presque gaming, comme si la gamme assumait son côté fun et légèrement insolent.
Appréciations sensorielles
- La couleur et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- L’odeur et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Définition de l’odeur : Fruitée, Sucrée
- Définition du goût : Sucré, Fruit, Léger
- Le goût et le nom du produit sont-ils en accord ? Oui
- Ai-je aimé ce jus ? Oui
Note du Vapelier quant à l’expérience sensorielle : 5 / 5 
Commentaires quant à l’appréciation gustative du jus
Rien qu’à la lecture, on sait où on met les pieds. Du fruit, encore du fruit, et cette promesse d’un mélange bien juteux. Le fruit du dragon, on l’a déjà croisé mille fois dans la vape, parfois discret, parfois un peu trop lisse. Alors forcément, la question arrive toute seule : est-ce que celui-ci va réussir à sortir du lot ou rester dans la masse ? Impossible de le savoir sans ouvrir la fiole… alors on y va.
Dès l’ouverture, l’odeur vous attrape sans prévenir. La pastèque arrive en premier, bien ronde, bien fraîche, suivie de très près par le kiwi. C’est clairement un jus qui ne joue pas la carte de la timidité. Rien qu’à l’odeur, on devine déjà un mélange très fruité, presque juteux, qui donne franchement envie de remplir le clearomiseur sans trop réfléchir.
Le fruit du dragon à chair blanche, lui, c’est un peu le discret de la bande. On est sur quelque chose de tendre, léger, juteux mais jamais agressif. Une texture douce, parsemée de petites graines croquantes, avec un goût subtil, légèrement sucré, presque lacté par moments. Ce n’est pas un fruit qui explose, c’est plutôt un fruit qui accompagne, qui apporte une sensation, une matière. Un genre de fond doux, un peu comme une toile sur laquelle les autres arômes vont pouvoir s’exprimer. On comprend vite pourquoi il est souvent utilisé comme liant dans les recettes fruitées.
La pastèque Sugar Baby, en revanche, elle n’a rien de discret. C’est la pastèque d’été par excellence. Rouge, juteuse, ultra désaltérante. On imagine presque le jus qui coule quand on croque dedans. En vape, ça se traduit par une sensation très aqueuse, très fraîche, avec une sucrosité naturelle qui arrive sans forcer. Pas écœurante, pas lourde, juste bien présente, comme une gorgée de jus bien frais sous le soleil.
Et puis il y a le kiwi Chinabelle, avec son caractère bien à lui. Plus doux qu’un kiwi vert classique, mais toujours avec ce petit peps acidulé qui réveille les papilles. Sa chair jaune apporte quelque chose de plus rond, presque gourmand, tout en gardant une belle vivacité. En vape, il joue parfaitement son rôle : il coupe le sucre de la pastèque, il dynamise le mélange, il évite que tout parte dans quelque chose de trop plat.
À l’inspiration, la sensation est immédiate. La pastèque ouvre le bal sans hésitation. C’est juteux, sucré, très fluide, comme si on venait de mordre dans un gros quartier bien frais. Très vite, le kiwi se glisse sur les côtés de la langue, apportant cette petite acidité lumineuse qui fait pétiller l’ensemble. Rien de brutal, juste ce qu’il faut pour donner du relief. La vape reste légère. Le fruit du dragon, lui, est déjà là, mais en arrière-plan. Il étire la bouffée, il lisse les angles, sans jamais prendre le dessus. La fraîcheur, à ce stade, reste discrète. Elle est là, mais en filigrane, comme une sensation générale plutôt qu’un effet givré.
À l’expiration, le mélange se rééquilibre autrement. Le fruit du dragon prend un peu plus de place et vient arrondir l’ensemble. Il apporte cette douceur légèrement lactée, presque poire-kiwi, qui relie parfaitement la pastèque et le kiwi. C’est lui qui donne cette sensation de continuité, cette impression que tout est lié. Les trois fruits finissent par se fondre ensemble, au point qu’on ne les distingue plus vraiment séparément. On ressent surtout un ensemble exotique cohérent, juteux, vivant. La fraîcheur se révèle davantage à ce moment-là, mais toujours avec retenue. Un voile frais, doux, qui tapisse le palais et prolonge la sensation sans jamais anesthésier la bouche. Juste assez pour donner envie d’y retourner.
Au final, cette recette va bien plus loin qu’un simple assemblage de fruits. Le trio fruit du dragon, pastèque et kiwi fonctionne comme une vraie construction. On se retrouve avec un liquide équilibré et rafraîchissant, qui se vape facilement sans lasser. Un jus fruité bien pensé, vivant, et clairement taillé pour ceux qui aiment les mélanges nets, juteux et efficaces, sans en faire trop.
Recommandations de dégustation
- Puissance recommandée pour un goût optimal : 18 W
- Type de vapeur obtenue à cette puissance : Dense
- Type de hit obtenu à cette puissance : Léger
- Atomiseur ayant servi pour la revue : Aspire Nautilus 3
- Valeur de la résistance de l’atomiseur en question : 0.7 Ω
- Matériels utilisés avec l’atomiseur : Coton, Mesh
Commentaires et recommandations pour une dégustation optimale
Pour cette dégustation, j’ai sorti mon Aspire Nautilus 3 et je l’ai calé à 20 watts. Rien de très extravagant sur le papier, mais franchement, c’est là que le Dragon Pastèque Kiwi m’a paru le plus juste. Ce clearomiseur a vraiment su mettre le liquide à l’aise, sans forcer, en laissant chaque arôme prendre sa place. À ce réglage-là, tout s’est aligné naturellement, comme si le jus avait trouvé son terrain de jeu idéal.
La vape est restée douce, légère, jamais agressive. Ça permet de bien distinguer chaque note, sans saturation. On profite du fruit, simplement, avec une sensation fluide qui met en valeur l’ensemble du mélange. J’ai eu l’impression que les saveurs respiraient mieux, qu’elles s’exprimaient avec plus de clarté, sans être écrasées par trop de puissance.
Le ratio 50 PG / 50 VG y est aussi pour beaucoup. C’est un équilibre qui fonctionne toujours aussi bien sur ce genre de recette. La vapeur est suffisamment dense pour être satisfaisante, mais sans jamais sacrifier la restitution des arômes. Le hit est là, bien présent en gorge, mais toujours maîtrisé. Il se fait sentir juste ce qu’il faut, sans prendre le dessus ni venir casser le plaisir de la vape.
Après, comme toujours, rien n’est figé. À vous de jouer, d’ajuster, de tester, de chercher ce qui vous correspond. Ce liquide a plusieurs facettes, et c’est en affinant vos réglages que vous les découvrirez vraiment. Et je le répète à chaque fois, parce que c’est un peu ma marque de fabrique : dans la vape, tout est une question d’équilibre… et surtout de réglage.
Moments recommandés
- Moments de la journée recommandés : Matinée, Matin – petit déjeuner café, Matin – petit déjeuner chocolat, Matin – petit déjeuner thé, Apéro, Déjeuner / dîner, Fin de déjeuner / dîner avec un café, Fin de déjeuner / dîner avec un digestif, Tout l’après midi durant les activités de tout un chacun, Début de soirée pour se détendre avec un verre, Fin de soirée avec ou sans tisane, La nuit pour les insomniaques
- Ce jus peut-il être recommandé comme un all-day vape : Oui
Moyenne globale (hors packaging) du Vapelier pour ce jus : 4.59 / 5 
Mon billet d’humeur sur ce jus
Quand j’ai commencé à vaper ce liquide, je partais sans attente particulière. Honnêtement, je ne pensais pas tomber sur quelque chose de vraiment différent. Le fruit du dragon, on le voit partout aujourd’hui, et forcément, une gamme entière construite autour de cet arôme réveille la curiosité… mais aussi un petit doute. Pourtant, avant même la première bouffée, il y a ce détail qui accroche : le visuel. Ce dragon aux couleurs vives, posé fièrement sur l’étiquette, donne immédiatement envie de saisir la fiole et surtout de savoir ce qu’elle cache vraiment.
Étant amatrice de liquides fruités, les saveurs annoncées m’ont tout de suite parlé. Mais, je dois l’avouer, un léger scepticisme restait là, en arrière-plan. Je me demandais sincèrement comment ce jus pourrait encore réussir à me surprendre, avec des arômes que l’on croit déjà bien connaître.
Au départ, je m’attendais donc à quelque chose de simple, agréable, sans mauvaise surprise. Un bon fruité, efficace, et puis voilà. Sauf que la réalité a été un peu différente. Dès les premières bouffées, j’ai senti que ce liquide avait plus à raconter. L’intensité des arômes, la façon dont ils se posaient sur le palais, m’ont clairement prise de court. Sans m’en rendre compte, j’ai enchaîné les tanks. Et pendant que je notais mes impressions, bouffée après bouffée, j’ai réalisé que le niveau de la fiole avait sérieusement baissé. En général, quand ça arrive, il n’y a pas de mystère : le liquide est agréable, mais surtout, les dosages sont justes.
Ici, tout est à sa place. Les arômes sont parfaitement équilibrés, avec une texture qui se démarque de ce qu’on retrouve habituellement sur ce type de recettes. Ce n’est pas un fruité banal, ni un jus déjà vu. Il a ce petit quelque chose en plus, difficile à définir, mais qu’on ressent très vite à la vape. Et surtout, il rassemble beaucoup de saveurs que j’apprécie particulièrement, sans jamais tomber dans l’excès.
L’équilibre général est vraiment remarquable. Le liquide est intense quand il le faut, mais reste doux et confortable sur la durée. Les arômes s’accordent naturellement, sans qu’aucun ne cherche à écraser les autres. C’est typiquement le genre de jus qu’on peut vaper toute la journée sans s’en lasser, ce fameux all-day qu’on cherche parfois longtemps. Pour ma part, j’ai été plus que conquise. Un liquide qui mérite clairement sa place parmi les belles surprises… et qui décroche, sans hésitation, un Top Vapelier.
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